Katharina R. ''Tex'' Maystein

Nom : R. Maystein
Prénom(s) : Katharina ''Tex''
Âge : 25 ans
lieu de naissance : Mur Maria
Sexualité : La vie est trop courte pour se limité au plaisir d'un seul sexe.
Statut/métier : Tyrant Soldat de la brigade spéciale.
Famille :Avec un peu de chance, ils sont peut-être mort!
Groupe :Brigade spéciale.

CARACTÈRE

The world is full of garbage.

Ça risque de vous choquer. Vous n'être probablement pas prêt à entendre ça. Ça risque de détruire votre perception de la vie.... Katharina, est loin d'être un ange. * Expression de choc général dans la pièce *

Même avant qu'elle finisse dans les bandes de voyous qui pullule les coins sombres du mur Maria, Katharina a toujours été ce qu'on peut qualifié d'enfant trouble prompt à se mettre dans le pétrin et de s'embarquer dans des histoires à rendre dingue n'importe quel parent sur la planète. Son plus grand trait psychologique reste sa soif de liberté et d'indépendance. Des règlements? Pfffftt... À quoi bon suivre ce genre de chose? L'humanité est déjà dans une cage, alors pourquoi s'enfermer davantage derrière des barrières sociales? Ne se battaient-t-ils pas pour être enfin libres? Pour Katharina, la liberté individuelle est le premier pas logique dans cette direction. Est-ce que ça a du sens? Non. Mais bonne chance pour lui faire comprendre que les règles sont là pour empêcher que l'humanité s'entre-tue. Avec ce genre de philosophie, il va sans dire que la jeune femme est une personne têtue qui déteste généralement prendre des ordres et encore plus les appliquer comme demandé. Elle aime faire ses propres règles et utiliser ses propres méthodes pour accomplir ses tâches. Faut également préciser que dans ses méthodes, il finit toujours par y avoir au moins un blessé. On se demande bien pourquoi!

C'est également un autre trait important de sa personnalité: elle est d'une nature excessivement agressive et violente. Encore une fois, c'est un trait qu'elle possédait bien avant de finir dans les rues et c'était principalement ce qui la mettait elle et ses parents dans le pétrin. Aussi loin qu'elle pouvait se souvenir, il n'y a pas une seule journée où elle n'allait pas chercher la merde avec des enfants et parfois même, des adultes bien plus grands qu'elle. Les plus forts dévorent les plus faibles, c'était la seule et incontournable loi en ce monde et elle refusait d'être considérée comme une faible, de devoir ramper devant les plus forts pour leur miséricorde ou leur aide. Refusant d'être une chienne déguiser en êtres humains, elle a décidé de prendre sa place dans la grande roue de la destinée de ses propres mains, quitte à casser quelques mâchoires en chemin. Oh bien entendu, ce genre de chose n’est pas évident, elle est au courant. Mais elle a toujours aimé surmontées les situations désespérées.

Si elle a une personnalité de merde, ce qui, ne nous le cachons pas, est le cas, elle possède au moins une qualité des plus admirable: sa volonté de fer et sa capacité à faire face sans peur au plus grand des dangers. Elle est l'exemple typique de la soldate n'ayant plus rien à perdre et qui n'hésite pas à mettre sa vie en danger pour son boulot. Du moins, à une différence prêt. Non elle ne fait pas ça pour la gloire, pour l'espèce humaine ou pour l'argent, mais pas simple témérité. Elle agit comme une folle simplement parce que c'est de cette manière qu'elle aime vivre sa vie. Ce ne serait pas si grave si elle n'avait tendance à impliquer les gens autour d'elle dans ses conneries. Du moins, elle a seulement causé la mort de deux membres de son équipe en prenant des risques inutiles! Ce n’est pas si mal quand même. Puis c'était des cons, ils ne manquent à personne. Malgré ses très nombreux défauts et son intense manque de respect envers la vie humaine, Katharina reste un officier digne de son nom, terriblement efficace qui accomplit ses ordres avec une efficacité irréprochable, au point où les plaintes en valent la peine. Évidemment, c'est son caractère de merde qui l'empêche d'avancer dans les rangs. Mais entre nous deux? Elle n’en a tellement rien à foutre. Par contre, ses supérieurs ne sont pas au courant de son côté tyrannique qu'elle possède. Pratique louche sous la table, contrebande et attitude violente et abusive envers les citoyens des murs ne sont que quelques exemples de méfaits qu'elle a l'habitude de commettre sur une base régulière. Pas si digne de ce nom au final eh? Enfin, ce n’est pas comme si elle était la seule dans la brigade spéciale à faire ce genre de chose, elle a rien inventé.

Katharina s'exprime de façon un peu étrange. Elle n'est pas du genre à tenir sa langue dans sa poche avec qui que ce soit, même ses supérieurs. Ayant grandi dans les rues, on peut facilement s'attendre à ce qu'elle soit vulgaire, ''légèrement'' insultante et qu'elle s'exprime comme si absolument tout sur la planète la fait chier. Ce qui, dans un sens, n'est pas tout à fait faux. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Katharina est loin d'être une fille facile. Même s'il lui arrive de se montrer très féline de temps à autre. Elle offrira son respect et son âme à une seule personne: celle qui est capable de lui montré qu'il a assez de couille (ou assez d'ovaires, dépendant de la personne) et de force dans les bras pour la battre. Elle a horreur des femmelettes et jusqu'à maintenant, très peu de prétendants ont été à la hauteur des demandes de la brute. Y'a rien de plus sexy qu'une personne capable de vous tenir tête. Prouver scientifiquement avec des chartes et tout.

Spoiler:

tl;dr: Katharina est une vraie salope chiante, violente, égocentrique et blasée que vous pourrez voir dans votre vie. Et elle en est fière.

PHYSIQUE

The world is full of shit.

''C'est quoi la première chose que tu as remarquée chez moi, mon amour? ♥

-Tes yeux, bien entendu! ♥

-Oh oh oh grand fou! ♥''

On sait tous que cette discussion à la fois clichée, récurrente et vomitive est un tissu de mensonge plutôt hypocrite. Les yeux sont bien la dernière chose qu'un homme va regarder chez une femme, on le sait tous. Par contre, dans le cas de Katharina, ce n'est pas tout à fait faux. La plupart du temps. Non ce n'est pas que ses yeux sont magnifique ou hors du commun ou d'une couleur tellement flashy qu'on pourrait s'en servir comme phare. Non en fait on la remarque principalement à cause de son cache-oeil qui recouvre son oeil gauche qu'elle a perdu il y a de cela plusieurs années, lors d'une bagarre dans une taverne un peu crade. Un bon coup de bouteille cassé et bam, un oeil en moins et une belle grosse cicatrice bien profonde qui n'a absolument rien de sexy. Et pour info: non, c'était pas une bataille digne d'une chanson, elle était complètement bourrée et bien qu'elle ne se souvienne plus du tout de sa soirée, elle est pas mal certaine qu'elle l'a fini nue...

Parlant de nudité! Parce que son seul trait physique n'est quand même pas juste le fait que c'est une cyclope. Pour commencer, ça va de soit venant de n'importe qui n'ayant pas été élever dans la noblesse, mais Katharina est plutôt maigre, sans toutefois s'approcher ne serait-ce qu'un minimum de l'anorexie. Très bien nourrie, mais surtout, très bien entraîner. Elle est dotée d'une figure svelte et bien athlétique, résultat d'un entraînement et d'un cassage de gueule régulier depuis plusieurs années. Ses jambes et ses bras sont pareil: l'air athlétique et bien sculpté.

Niveau poitrine, on peut dire que la nature a été généreuse. Très généreuse même. C'est un miracle qu'elle est capable de s'entraîner sans s'assomme elle-même pour être franc. Mesdames, vous avez le droit d'être jalouses. Sa peau est de couleur pêche n'ayant jamais eu le temps\la motivation de le faire bronzer et ses cheveux sont d'une couleur non naturelle pourpre qui lui descend jusqu'à la nuque. Aussi étrange que cela puisse paraître, elle fait assez attention à la santé de son corps. Comme quoi on peut être le pire garçon manquer et quand même garder ne serait-ce qu'une once de féminité. N'aller jamais lui faire la remarque par contre. Elle va vous faire mal. Beaucoup.

Elle porte généralement l'uniforme standard de la division spéciale, bien qu'elle le déteste avec une passion sans limites. Qui aime le pastel et le blanc de nos jours... Sérieusement... Autrement, elle ne quitte jamais ses quartiers sans son cache-oeil, une paire de gants en cuir et l'équipement de base pour sa division: une arme à feu et quand ses supérieurs se sentent généreux, un sabre qu'elle porte à sa ceinture. Malgré son armement, il est rare de la voir utiliser autre chose que ses poings lors d'une bagarre.

HISTOIRE

The world is full of... Euhm... I dunno, pie or somethin'.

 
Aaaaah la vit derrière le mur... Pour énormément de gens, il s'agit d'une chose plutôt dégueulasse et synonyme de pauvreté. Dans un certain sens, c'est vrai, mais dans un autre, la majorité des citoyens réussissent à trouver le bonheur dans la simplicité et des limites imposées. Oh certes, on vit avec les mêmes craintes tous les jours de son existence: les titans de l'autre côté du mur (Ils ont beau pas être capable de rentrer, mais c'est pas rassurant pour autant) et surtout, le manque de renforcement de la loi dans les zones plus vastes. Où je veux en venir avec ça? Oh vous allez voir, je n’écris pas tout ça pour avoir des lignes gratuites. Comme je fais en ce moment. (Oh oh oh)

Notre histoire commence donc dans un coin sombre et mal entretenu dans un coin du mur Maria. Là où les gens louches se tiennent et où les femmes en manque d'argent s'adonnent à leur... Ahem... Métier. Dans le sous-sol d'un bordel mal entretenu, une femme se tortillait de douleur, tourmentée par les contractions qui sont chose fréquente lorsqu'on parle du ''miracle de la vie''. À son chevet ne se trouvait qu'une seule personne: un docteur en état de panique qui ne savait plus où donner de la tête. Enfin, docteur est un grand mot. Disons plutôt ''homme étrange qui vit dans la rue et qui prétend avoir une base en médecine et qui s'y connait un minimum dans l'anatomie humaine''. Difficile de se trouver un vrai docteur dans un trou à merde. Avec un salaire de prostitué.

Au bout de longues heures de souffrance physique de la part de la demoiselle et psychologique du côté du supposé médecin, une petite fille en pleine santé vue le jour. C'est avec très peu d'émotions et de bonheur que la jeune femme blasée nomma ce petit accident Katharina en honneur de... Bah... Rien du tout en fait. Pour être franc, elle n'avait aucune idée du nom à lui donner, alors elle se contenta de demander à la femme la plus proche quel était son nom, pour ensuite le donner au bambin. Voilà! Pas besoin de se casser les noisettes pour une connerie du genre non? Et ainsi débuta la merveilleuse vie de Katharina Maystein, fille d'une dame de la nuit, condamnée à passer sa vie dans un bordel. Joie? Vous ne pouvez pas savoir! Son histoire étant particulière, il est important de commencer par le début du commencement, c'est à dire, les circonstances ayant amené à la naissance de ce petit monstre.

Sigrund Maystein était une jeune femme dans la fleur de l'âge lorsqu'elle tomba dans l'enfer de la prostitution. C'était une époque où la vie se faisait difficile, les ressources étaient rares et les boulots disponibles à la classe la plus basse du mur étaient en voie de disparition. Venant tout juste de perdre sa maison dans un malheureux incendie, Sigrund s'était retrouvé brusquement à sillonner les rues à la recherche d'un espoir de survie. Aucun ami, pas de petits copains et aucune famille chez qui se réfugié le temps de trouvé une solution. Les parents de la jeune femme étaient morts peu de temps après sa naissance d'une très mauvaise fièvre et elle n'avait pas d'amis dus à une seule chose: elle était vraiment la pire sorte d'être humain existant. Plaignarde, manipulatrice, égoïste et incroyablement prompte à avoir des crises de colère tournant très souvent à la violence. Alors ouais, pas exactement le genre de femme qu'on veut avoir dans notre cercle d'amis, non? Alors voilà, condamné à errer les rues du mur, la jeune femme décida de faire la chose la plus logique. Vendre son corps au service d'un bordel miteux bien entendu!

Après avoir commencé à ''travailler'', elle tomba rapidement enceinte de l'un de ses clients. Lequel? Aucune idée. Difficile à dire quand on est dans cette branche de métier. Contrairement à ce que voudrait la logique et le bon sens, Sigrund décida de garder son enfant au lieu d'en donner la charge à un orphelinat. J'veux dire... Pourquoi offrir la chance à son enfant de grandir correctement et heureux quand on peut l'élever soit même dans le pire type de milieux possible? Non, mais faut y pensé quand même, c'est logique.

Ses premières années n'avaient rien de bien spécial. À part qu'elle a été échappée plusieurs fois. Et que sa mère travaillait dans la même pièce qu'elle pour s'en occuper. De quoi brûler la plus dégueulasse des images mentales possibles et faire perdre l'appétit à un noble. Pour toujours. Et c'est dans ce lieu obscène et immoral que grandit la jeune Katharina.

Malgré les bruits louches qui la gardaient réveiller pendant la nuit et sa mère complètement timbrée, Katharina ne pouvait pas dire qu'elle avait eu une enfance difficile. Merdique? Vous n’en avez pas idée. Mais pas difficile. La jeune fille ne passait jamais plus que quelques heures dans sa chambre. Dès le lever du soleil, elle disparaissait pour ne revenir que lors du couvre-feu. Sigrun, étant la mère la plus responsable de la planète, oubliait très souvent de s'occuper de sa fille et même qu'elle en oubliait son existence! Très tôt dans sa vie, Katharina avait été forcée d'apprendre à se débrouiller elle-même pour survivre dans les rues du mur. Vol de nourriture, violence envers les autres enfants de son âge, insulte envers les soldats, assaut sans provocation... La liste de ses méfaits n'était pas exactement courte. Bien franchement, on pouvait dire qu'elle a été coupable de pratiquement toutes les offenses graves dans le code de loi.

Avec le temps, la petite peste finit par y prendre goût. Cette violence, cette liberté, cette sensation de bien-être quand on lui criait des injures quand on la poursuivait, pomme à la main ou quand elle venait de casser la gueule à un autre enfant... C'était euphorique pour elle. Ce n'était plus une question de survie ou pour fermer la gueule à un petit con qui la regardait de travers... Non, c'était purement par plaisir et Bon Dieu que c'était bon! Cette rage envers la société était bien nourrie, sa mère incompétente venait tout juste de mettre au monde une deuxième petite fille. Parce que ne pas s'occuper d'un seul enfant c'est pas assez, voyons. Pourquoi ruiner la vie d'une seule personne? La petite peste finit par recevoir une sacrée réputation dans son quartier, à un point où presque tout le monde connaissait son nom... Ce qui bien entendu, lui amena une bonne dose de problèmes.

Inquiétée pour la réputation de son établissement, la tenancière du bordel donna un ultimatum à Sigrun qui attendait présentement un troisième enfant: soit sa fille quittait, soit elle renvoyait les deux à la rue. Le choix fut vite fait. À la suite d'une discussion qui s'envenima rapidement, Katharina fit ce qu'elle aurait dû faire il y a très longtemps: foutre un coup de poing en plein dans la gueule de sa mère indigne pour ensuite partir pour ne plus jamais y revenir. Elle pouvait vivre seule. Elle l'avait toujours fait et si c'était pour s'échapper de cette famille de merde, elle allait le faire avec grand plaisir.

Après avoir quitter Shiganshina et traverser le mur Maria, Katharina pris refuge dans les environs du mur Rose où elle commença sa nouvelle vie, qui ressemblait étrangement à ce qu'elle a toujours fait. Rapidement, elle se fit approcher par les adolescents comme elle, qui l'accepta comme l'un d'entre eux, malgré son bas âge. Le groupe de jeunes fauteurs de trouble, diriger avec une poigne de fer par la jeune femme vira rapidement au gang criminel lorsque ses membres avaient atteint la majorité. La Griffe Blanche, gang criminel oeuvrant dans le trafic d'armes, distribution de drogues illégales, règlement de compte, assassinat, trafic humain et extorsion des commerces. Avec le temps, le gang se mit à prendre de plus en plus d'ampleur, attirant beaucoup d'attention non désirée sur lui-même.

Malgré l'investigation des brigades de l'armée, la Griffe Blanche restait intouchable. Katharina dirigeait son groupe avec une efficacité et une discrétion à toute épreuve, gardant toujours un bras d'avance sur l'armée. Elle exécutait ses opérations sans jamais laisser de preuve derrière et même que parfois, elle s'amusait à les lancers sur de fausses pistes, utilisant ces imbéciles pour mettre la main sur le collet ses rivaux, éliminant la compétition sans jamais risqué la vie de ses effectifs. Son gang se hissa au sommet de la chaine alimentaire criminel, craint et gardant une présence non négligeable au sein du mur.

Elle possédait le gang criminel le plus influençable de l'époque, elle menait les autorités par le bout du nez et elle se baignait dans l'argent... Pourtant, cette notoriété commençait à perdre de son intérêt. À quoi bon tout ça si elle était forcée de diriger des ombres? À quoi bon si elle n'avait même plus le temps de se salir les mains dans les tâches physique? C'est à l'âge de ses 20 ans qu'elle fut frappée d'une réalisation qui changea le reste de sa vie. Tout ça.... Était incroyablement, stupidement, phénoménalement, faramineusement, ennuyant.

Après un bon 4 heures de réflexion (Bah ouais, on va pas se faire chier avec ça éternellement quand même), Katharina décida de quitter la direction de la griffe blanche, refilant les reines à son second en commande avant de foutre le camp. La chose la plus logique à faire? Pourquoi ne pas rejoindre l'armée qui recherche son gang depuis des années? Pourquoi pas, ça avait l'air drôle. Non seulement elle allait pouvoir se battre, mais en plus, on la payait pour être tyrannique. Comment ne pas aimer cette idée!

Offrant sa candidature, elle rejoint l'académie militaire. L'ambiance lui plaisait bien... Tous ces jolis discours de ses supérieurs, l'entraînement corps à corps où elle avait le droit de casser la gueule de ses camarades de classe et surtout, le dispositif de manoeuvre tridimensionnelle. Ces exercices ne posèrent que très peu de défis pour l'ex-gangster qui n'eut aucun mal à rester à la tête de ses classes. Certains la disaient prodige, certains la disaient folle et d'autres la disait tricheuse. Peu importe la véritable raison (bien que le surnom de tricheuse n'était pas exactement J'aime les saucisses, la cyclope avait de quoi impressionner la galerie et elle se faisait un énorme plaisir à écraser la compétition.

''On ne cherche pas la merde avec Tex'', c'était la devise de bien des gens au cours de sa vie. Elle amenait le respect et la peur dans les rues et maintenant elle l'amenait dans l'armée! Plutôt drôle quand on y pense, non? Son entraînement militaire fut plutôt sans histoire, la jeune femme n'ayant pas socialisé des masses avec les autres recrues, passant la majorité de son temps seule. Elle aimait bien cette solitude, ça faisait un très beau contraste avec son ancienne vie. Après tout, elle était pas là pour se faire des amis, elle était là pour prouvé qu'elle est la meilleure, prouvé son existence au monde. Marre de vivre dans l'ombre et marre de se cacher. Cette fois, c'était son tour d'être sur la scène et elle comptait bien s'approprier ce rôle coûte que coûte.

Sans aucune surprise, elle fut admise dans la brigade spéciale dès sa graduation, 3 ans plus tard. Son premier boulot? Enquêté sur un certain gang criminel qui avait pris énormément d'ampleur durant quelques années. La Griffe Blanche, le gang qu'elle avait créé. N'importe qui d'autre dans sa situation aurait envoyé la brigade sur une fausse piste pour sauver les gens avec qui elle a grandi, avec qui elle a passé à travers les pires moments de sa vie, des hommes loyaux qui avaient sacrifié beaucoup pour elle. Mais Katharina n'est pas une femme normale. Si ce n’était pas déjà clair.

Elle fut déçue de constater que le nouveau du chef du gang était beaucoup plus maladroit qu'elle le croyait. Il laissait des traces, faisait des erreurs difficiles à ne pas manquer pour quelqu'un qui était ne serait-ce qu'un minimum familier avec la façon de faire de la Griffe. Grâce à son expertise, la brigade spéciale arrêta une à une les têtes dirigeantes, renversant leurs opérations en remontant jusqu'au chef qui ne tarda pas à se faire arrêter. La trahison a normalement un goût plutôt amer... Mais pour Katharina, c'était une véritable tablette de chocolat. Sans aucun regret, elle avait été la principale cause du déclin de l'empire criminel qu'elle avait elle-même créé, et tout ça, sans que ses anciens hommes n'aient une raison de la soupçonner. Puis, elle ne doutait pas de leur loyauté et comme elle l'avait prédit, tous les membres emportèrent l'identité du membre fondateur à la tombe.

Sa grande aide dans cette affaire lui ont valu une bonne promotion en seulement quelques mois de services, sa propre unité et surtout, une bonne dose de fous rires. Le fou rire d'une petite fille qui prend plaisir à construire un immense château de cartes pour ensuite le détruire à grand coup de chaise. Ou quelque chose du genre de toute façon. Comme bien des membres de l'armée, elle faisait toujours affaire avec le marché criminel, oeuvrant dans la contre-bande de temps en temps pour se faire un peu d'argent de poche supplémentaire.

On ne cherche pas la merde avec Tex.
 
 
Oh oui, sa mère est également probablement morte lorsque le mur fut brisé. Mais franchement, on s'en branle un, non?

Test RP :

A toi maintenant. Qui es-tu?

Pseudo : Jester (La majorité du temps)
Âge : 21 ans
Personnage de l'avatar : Tenryuu de Kantai Collection (Peu importe ce que c'est)
Comment avez-vous connu notre forum ? On m'y a amené de force et après je me suis rendu compte que le fo' est génial. GG. \o
Question, suggestion, remarque ? Faut recouvrir les cuisses de poulet quand tu les mets dans le four. Sinon, ça fait des chips.
&  SNk : Iz amaaaaaaaaziiiiiiiing. \o
Code du règlement : Validé par Eren.