Invité | Sujet: Franziska Lindeberg ❛ I must become a lion hearted girl. Jeu 12 Sep - 16:17 | |
| FRANZISKA LINDEBERG Nom : Lindeberg. Prénom : Franziska dîte Franz. Âge : 14 ans. lieu de naissance : Une étable, dans l'enceinte du Mur Rose. Sexualité : Indéterminée, Franz étant trop jeune pour vraiment s'intéresser à la chose. Statut : Fille d'un éleveur de chevaux. Famille : Trois frères ainés, un frère cadet et ses deux parents. Rajoutez également trois cousins réfugiés du Mur Maria. Groupe : Commerçants.
CARACTÈREOh my sweet summer child, what do you know of fear ?MUSIQUE DE FOND.
Petite chose hargneuse et téméraire, le moins que l'on puisse dire sur Franz c'est qu'elle n'a pas son pareil pour causer des soucis à son vieux barbu de paternel. Il faut dire que la môme n'a ni sa langue, ni ses mains dans sa poche et fut dotée de l'esprit redoutablement vif propre aux gamins surexcités. Extrêmement maligne pour son âge, elle excelle dans l'art d'embêter son monde et ne manque jamais une occasion d'entrainer son dernier frère dans l'une de ses énièmes ruses.
Jeune adolescente, Franz voudrait tout connaître, tout voir, tout entendre, ce qui l'amène naturellement à tout essayer de gauche à droite et à commettre mille et une bêtises. Ce n'est pas qu'elle soit méchante ou promptement sadique la petite Lindeberg, juste incroyablement curieuse et carrément intenable. Elle monterait le Mur Rose avec ses petites mains juste pour apercevoir le faciès d'un Titan si elle le pouvait. Il faut dire qu'ayant toujours vécu dans sa paisible campagne fortifiée, Franz n'a jamais connu la terreur engendrée par ces monstres géants. D'ailleurs Franz n'a jamais vraiment souffert de trouillardise. Sans doute est-ce dû au fait qu'elle fut toujours surprotégée par son père et ses trois grands frères. Ou alors que sa rivalité avec ces derniers l'a toujours poussé à refouler ses peurs de gamine. Difficile de s'imposer dans une famille quasi exclusivement masculine quand on craint de salir ses jupons et qu'on chouine à tout va.
Ainsi donc, notre Franz nationale a développé un tempérament identique à ceux de ses frangins au grand dam de ses parents qui la considèrent toujours comme leur petite princesse. Elle n'aime pas coudre, n'aspire pas à devenir l'heureuse épouse d'un riche marchand et encore moins la mère d'une marmaille de poupons. Bien au contraire, Franz rêverait de s'aventurer dans le sillage tracé par ses aînés et de rejoindre la section d'exploration. Et c'est tous les soirs qu'elle s'endort avec des étoiles dans les yeux en rêvant à quoi peut bien ressembler le mur extérieur.
Seule caractéristique qui la démarquerait bien de ses trois intrépides frangins : Franz a un talent certain pour la comédie. Usitant de ses atouts de charmante petite fille, elle arrive souvent à obtenir ce qu'elle ne peut d'elle-même en persuadant son entourage. Un tantinet manipulatrice, il lui arrive parfois de berner ses interlocuteurs pour le plaisir. La jeune fille adore être au centre du monde et exècre tout particulièrement être ignorée. Mais elle déteste également qu'on lui marche ses pieds et possède une patience encore très limitée ce qui lui attire souvent des ennuis. Heureusement pour elle, la bagarre ne lui fait pas froid aux yeux. Inutile de préciser qu'en raison de son jeune âge et de sa relative inexpérience du monde extérieur, Franz reste beaucoup plus naïve que ce qu'elle veut bien admettre.
PHYSIQUEBlame it or praise it, there is no denying the wild horse in us.En plus de sa fourberie naissante, il fallut que Franz soit dotée du parfait profil de l'adorable gamine. Combinez les deux et vous obtiendrez probablement la plus redoutable mioche de toute la région. Si Franz sait si bien charmer les foules c'est bien parce qu'elle possède ce mignon visage de poupon aux joues encore bien rondes, au sourire angélique et au teint de porcelaine.
En réalité, Franz fait plus jeune que son âge, ce qui la désole au plus haut point. Elle qui voudrait faire 1m90 plus tard et avoir les gros bras de son paternel. Les plus observateurs décerneront une lueur maligne au creux de ses grands yeux noisettes qui trahit son intelligence. Depuis toute petite déjà, elle arbore une crinière d'un brun auburn flamboyant qui fait la fierté de sa mère. Ainsi, en dépit de son tout juste 1m55, on la reconnaît de très loin aux reflets roux de sa chevelure souvent en désordre qui lui descend jusqu'au creux des reins.
Tradition oblige, Franz se vêtit la plupart du temps de robes longues et de la coiffe blanche caractéristique des femmes paysannes. Seulement elle a une sainte horreur des sabots et jupons dans lesquels elle s'emmêle les pieds lorsqu'elle se met à détaler. Au fil du temps et avec le départ de ses trois frères ainés, elle a réussi à négocier auprès de son père plusieurs paires de pantalons et de bottes ainsi que des chemises amples qui forment une tenue bien plus adaptée au travail de palefrenier. Ainsi si lors de ses escapades en ville Franz se voit contrainte d'être correctement vêtue, elle ne s'habille que de tenues masculines à la ferme.
L'envers du décor c'est qu'à force de travailler aussi dur que n'importe qui dans les écuries et de cavaler partout, Franz est bien plus endurante et musclée qu'il n'y paraît. Sous sa frêle carrure de moucharde se cache une vraie petite athlète agile, rapide et souple comme une souris. À force de se chamailler avec ses frangins, elle est parfaitement capable de se défendre contre un individu de trois têtes de plus qu'elle, ou à défaut, de se faire la malle et de disparaître en moins de deux. Vous seriez surpris de savoir le nombre de cicatrices que possède la petite Franz. En vérité, sans sa caractéristique chevelure, il serait aisé de la confondre dans ses pantalons trop larges avec un quelconque garçon, la môme n'ayant que très peu de formes féminines et étant restée chétive comme un os de pigeon.
HISTOIREA single dream is more powerful than a thousand realities.Ô que l'histoire de Franz paraît bien fade comparée aux multiples aventures épiques que la môme ne cesse de s'inventer. La vérité c'est que Franz est issue d'une paisible famille d'éleveurs de chevaux, son père possédant les juments et les étalons les plus rapides de la région - ou du moins le prétend-il, si bien qu'il a l'immense honneur de fournir un nombre conséquent de ses poulains et pouliches aux membres de la section d'exploration. Ainsi donc, les affaires vont bien chez les Lindeberg, très bien même pour des fermiers de leur statut et la dernière famine remonte facilement à quatre ans lorsque les réfugiés du mur Maria ont envahi la campagne. C'est donc dans une presque parfaite harmonie qu'ont vécu les Lindeberg, leur tranquillité n'ayant été rompue que par les disputes incessantes de leur marmaille surexcitée.
Maxence Lindeberg, contrairement à nombre de ses confrères, avait toujours rêvé avoir un petit régiment de filles, d'adorables poupées dont il serait extrêmement fier et qu'il pourrait marier à de riches marchands, voir même un à noble du mur Sina si Dieu le voulait bien. Or, comble de l'ironie, alors qu'il priait secrètement chaque fois que le ventre de sa femme s'arrondissait pour avoir une fille, il eut d'abord trois garçons trois années de suite. Puis, il n'eut plus d'enfant pendant trois ans, sa tendre épouse enchaînant les fausses couches. Ce fut enfin, par une chaude journée d'été, que vint au monde la petite Franz qui fut solennellement décrétée au sein de la famille comme la princesse de la ferme. Dans les années qui suivirent, elle bénéficia donc de l'attention toute particulière du couple, s'attirant la jalousie de ses trois frères aînés qui ne lui menèrent jamais la vie facile. L'année qui suivit la naissance de Franz, Cadence Lindeberg accoucha d'un dernier garçon mais cela ne changea en rien le statut de petite privilégiée dont bénéficiait désormais Franz.
Toutefois, le paternel Lindeberg s'aperçut petit à petit que sa petite Franziska, de par son tempérament de feu et ses manières de sauvageonne, était loin de répondre à ses attentes de parfaite princesse. D'autant plus que celle-ci était toujours fourrée dans les pattes de ses trois frères qui la faisaient volontiers participer aux tâches quotidiennes de la ferme et l'entrainaient dans leurs innombrables bêtises lorsque celle-ci devait rester enfermée dans la maison à apprendre à coudre et à s'occuper de son frère cadet avec sa mère. S'ensuivirent d'énièmes disputes et discussions sur les façons dont devaient se comporter une petite duchesse de ferme et les bonnes manières de jeune femme qu'elle se devait de suivre, mais en vain. Comprenant que Franz était un cas désespéré, le père Lindeberg se mit alors à la traiter comme un garçon et lui inculqua la même éducation que celle qu'il réservait à ses quatre autres fils, la faisant travailler dur tous les jours dans le foin des écuries.
Entourée de ses frères, Franz vivait alors un bonheur quasi total avant que ces derniers n'aient l'idée de tous les trois s'engager dans l'armée suite à l'apparition d'un soi-disant Titan colossal. Bien que les Lindeberg n'étaient pas vraiment à plaindre après l'incident de Shingashina, ils durent accueillir chez eux plusieurs membres éloignés de leur famille rescapés et très vite les quelques cultures de la ferme et les quelques animaux en plus qu'ils possédaient ne suffirent plus à nourrir tout ce beau monde. Ce problème fut résolu un an après lorsqu'il fut décidé qu'on enverrait les survivants reconquérir l'enceinte du Mur Maria. Il ne resta plus qu'alors que les plus jeunes enfants des réfugiés que la famille adopta comme les leurs. Soudainement animés d'un amour débordant pour l'humanité et d'idées patriotiques, les trois frères décidèrent alors de s'engager dans l'armée. Deux rejoignirent la section d'exploration et un la garnison. Malheureusement l'un perdit la vie lors de l'attaque de Trost et un autre disparut lors d'une expédition.
Sans ses trois camarades préférés de jeu, Franz commença à s'ennuyer. Il y avait bien ses deux cousins et sa cousine qui avaient plus ou moins son âge ainsi que son petit frère mais ils ne remplaçaient par ses trois aînés et n'étaient certainement pas dotés du même caractère combattif. Privée de ses acolytes de bagarres et de bêtises, la môme se mit elle-même à rêver du monde extérieur. Elle commença à secrètement entretenir le désir de s'enrôler et de sauver l'humanité et au matin de ses quatorze ans en fit part à son paternel qui tenta sévèrement de l'en dissuader, arguant du fait qu'une jeune femme n'avait pas sa place dans pareille armée et que son aide était devenue indispensable à la ferme. Il l'interdit en conséquent de l'accompagner à ses fréquentes ventes de poulains à l'armée tout en sachant très bien qu'il s'agissait des sorties préférées de sa gamine qui n'avait cesse de s'extasier sur les uniformes et les équipements des soldats qu'elle rencontrait. Mais il en faut bien plus pour convaincre Franz qui souhaite, à défaut de pouvoir venger ses frangins, reprendre le fardeau.
- Test RP :
MUSIQUE DE FOND.Encore un peu, rien qu'un tout petit peu. Elle s'était levée une heure avant le lever du jour et depuis n'avait cessé de courir. Au loin, elle pouvait apercevoir en plissant des yeux la lueur aveuglante du soleil, ses rayons perçaient déjà à travers le clocher de l'église. Ses jambes lui faisaient un mal de chien mais c'était à peine si elle s'en souciait. Et tandis que ses semelles résonnaient sur les pavés irréguliers du village, elle n'avait d'yeux pour le jeune soldat à l'uniforme impeccable dont l'écusson représentant deux épées entrecroisées. Autour de lui, au moins une dizaine de jeunes adolescents de son âge s'étaient regroupés et s'apprêtaient déjà à monter dans la grande charrette qu'il conduisait. Les yeux pleins d'étoiles, elle s'arrêta l'espace de deux secondes pour reprendre son souffle mais son coeur ne semblait vouloir cesser de battre la chamade. Franz était devenue experte dans l'art de la course et lorsque ses trois frères aînés étaient toujours présents, il n'était pas rare de les voir tous les quatre courir pendant des heures à droite à gauche. Alors oui, elle avait cavalé à travers champs depuis sa ferme natale, échappant à la vigilance de Père pour arriver ici, dans ce petit village quelconque où l'armée avait décidé d'emmener ses futurs apprentis soldats jusqu'au camp d'entrainement. Elle aurait pu emprunter un cheval pour faire le trajet mais elle avait eu trop peur de se faire attraper en fouinant dans les étables à l'aube. Ainsi donc elle avait décidé d'y aller à pied. Elle aurait pu facilement se contenter de marcher mais l'excitation et l'impatience semblaient lui avoir donné des ailes et elle craignait d'arriver en retard. Il lui sembla qu'elle avait attendu ce moment toute sa vie. Le moment où à son tour elle monterait dans l'immense carriole pour consacrer le reste de son existence à l'armée. Pourtant si Franz songeait parfois dans ses délires les plus fous à sauver l'humanité, elle n'aspirait pas tant que ça à devenir ce Messie que certains attendaient, celle qui les délivrerait tous du joug des titans. Non ce qu'elle voulait elle c'était l'aventure, c'était devenir plus que cette fille de fermière coincée dans son étable, c'était même peut-être quelque part de laisser sa trace dans le monde, faire quelque chose d'utile de sa vie. Et surtout, donner un sens au sacrifice de ses deux frères qui avaient perdu la leur pour la plus noble des causes. Un sourire bêta se dessina sur ses lèvres en pensant à son dernier ainé encore en vie. La tête qu'il ferait en la voyant débarquer. Elle dut se mordre l'intérieur des joues pour ne pas ricaner. Oh elle était si heureuse la petite Franz pleine d'espoir et d'ambition ! C'était à peine si elle pensait à son pauvre paternel qui vendrait son âme au Diable pour ne pas voir sa fille adorée suivre la même voie que ses pauvres fous de frères. Elle aurait du pourtant. Comme elle aurait du entendre les bruits de sabots derrière elle. Alors qu'elle s'avançait vers l'équipage, prête à donner son nom puis à embarquer à son tour, elle sentit une main énorme agripper son épaule et bientôt, ses oreilles se mirent à bourdonner : - Franz ! Qu'est-ce que tu fiches ici ? C'était son père. Son père qui était venue la chercher jusqu'ici en découvrant son lit vide au petit matin. Il la connaissait si bien ce bon vieux bougre. Les yeux de Franz s'écarquillèrent de stupeur tandis que son géniteur la saisit par les épaules pour vigoureusement la secouer. - Je t'avais interdit de t'enrôler ! Je te l'avais interdit ! Jamais tu ne monteras dans cette charrette ma fille, tu m'entends ? Jamais ! Pour la première fois de sa vie, elle pouvait lire la panique sur le visage de Père, devenu rouge. Et malgré la puissante emprise de ses énormes mains, elle pouvait sentir qu'il tremblait. Il lui fit presque de la peine mais elle était déterminée à suivre la vie qu'elle avait décidé. Alors à son tour elle se mit à vociférer, la colère ayant remplacé la surprise sur le visage de la môme. - Tu peux pas m'empêcher ! Tu n'as pas le droit ! Je ne suis plus ta petite princesse ! Laisse-moi vivre ma vie ! Je veux pas être comme toi ! Je veux pas être un couard qui se cache derrière un mur et qui ne fait rien de sa vie. Je veux pas mener une existence de garde-manger pour titans ! Tu dois me laisser partir ! Tu dois me laisser venger Benjamin et Tristan ! Ce fut comme si la suite se déroula au ralenti. Son père leva le bras et elle vit lentement sa paume énorme s'abattre sur sa joue dans un grand bruit de claquement. Le coup était si fort qu'elle en tomba à la renverse sur le sol. Il l'a frappée. Il l'a frappée. Jamais pourtant le père Lindeberg n'avait levé la main sur elle. Jamais il n'avait osé touché au visage de poupon de sa précieuse princesse. Mais pas aujourd'hui. Face contre terre, elle tenta de contenir les grosses larmes qui se mirent à lui brouiller la vue. Elle sentait que tous les regards s'étaient tournés vers elle. Ne pas pleurer, ne pas pleurer. Pas une goutte. Comment pourrait-elle devenir un soldat si elle chouinait à cause de Père ? La honte et la fureur aux tripes, c'était à peine si elle entendait le sermon dans lequel s'était lancé son géniteur. Les mots n'étaient plus que des sons lointains qui résonnaient dans son crâne, passant d'une oreille à l'autre. Et elle pouvait entendre les chuchotements moqueurs de la foule amassée autour d'elle. Alors pour se protéger de cet écho assourdissant, elle se boucha les oreilles. Mais elle put tout de même entendre les paroles cruelles de Père : - Je te laisserais pas gâcher ta vie ! Je te laisserais pas finir en chair à titans comme tes trois imbéciles de frère ! Tu crois que tous ces abrutis sont des héros ? Tu crois que c'est en te faisant bouffer vivante que tu vas devenir quelqu'un ? Tu veux la vérité hein ? La vérité c'est que l'armée n'est qu'une vaste blague ! Qu'est-ce qu'a découvert la section d'exploration depuis ces dernières années ? Rien ! Rien du tout ! La vérité c'est que tes frères sont morts pour rien ! Elle rêvait. Oui elle devait rêver, ce devait être un cauchemar. Tout lui paraissait si irréel. Alors pourquoi elle avait si mal ? Mal au coeur, mal à la tête. Elle voulait vomir ce qu'elle venait d'entendre. Elle voulait s'allonger là par terre et disparaitre mille ans sous terre. Pourtant sous la poigne ferme de Père qui venait de lui attraper le bras, elle dut se lever. Muette de déception et de chagrin, elle ne chercha pas à répondre et cacha son visage dans ses mains tandis qu'il la hissait sur son cheval. Voulant intervenir, le jeune homme qui supervisait le recrutement tenta maladroitement de s'interposer : - Olà fermier ! Dîtes pas ça, ça eff...- Ta gueule ! Vous pouvez prendre tous ces idiots si ça vous chante mais vous n'aurez pas ma fille ! Je vous ai déjà donné trois fils et c'est bien assez comme ça.Le type haussa les épaules, comprenant qu'il valait mieux ne pas insister et retourna à ses occupations. Père remonta sur son cheval, prit les rênes et sans rien ajouter s'éloigna la place, sa fille pleurant silencieusement à l'arrière. Se retournant une dernière fois, Franz regarda la charrette et le jeune homme en uniforme s'éloigner, les larmes coulant sur la trace de main imprimée sur sa joue.
A toi maintenant. Qui es-tu? Pseudo : Mâo. Âge : 19 ans. Personnage de l'avatar : Sansa Stark de Game of Thrones. Dessiné par Kesterfox. Comment avez-vous connu notre forum ? En tapant "Forum SnK" sur Google. Question, suggestion, remarque ? vbkcjwfjvlikjdmehlin Y'a un Jean rukhhisl *blush* & SNk : Fan inconditionnée de l'anime et de Jean mais qui n'a jamais touché au manga. Pardon si y'a des incohérences .w. Code du règlement :Validé par Armin
Dernière édition par Franziska Lindeberg le Jeu 12 Sep - 23:34, édité 4 fois |
|
Mihaël Crosszeria
Messages : 967 Date de naissance : 19/07/1992 Date d'inscription : 10/07/2013 Age : 31
| Sujet: Re: Franziska Lindeberg ❛ I must become a lion hearted girl. Jeu 12 Sep - 16:23 | |
| Bienvenue sur le forum ! Ta fiche est-elle finie? ^^ Alors pour l'avatar, je laisse passer ! Par contre, je te demanderai d'utiliser que des dessins du personnage pour l'avenir. Histoire de rester tout de même hors du IRL. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous.
edit : Je vais juste te demander de faire des paragraphes dans tes textes... Histoire de ne pas tuer la rétine des correcteurs et futur rplayeurs ;w;... |
|
Invité | Sujet: Re: Franziska Lindeberg ❛ I must become a lion hearted girl. Jeu 12 Sep - 16:43 | |
| Merci ! À priori oui, j'ai terminé ma fiche. Je me soumets donc à votre jugement. Et j'ai fait au mieux pour aérer tout ça. Pardon, j'aime les pâtés, j'espère que c'est mieux *roule.* Et pas de problèmes pour l'avatar, je m'en tiendrais aux fanarts bien évidemment. |
|
Mihaël Crosszeria
Messages : 967 Date de naissance : 19/07/1992 Date d'inscription : 10/07/2013 Age : 31
| Sujet: Re: Franziska Lindeberg ❛ I must become a lion hearted girl. Ven 13 Sep - 3:59 | |
| Il est 5h du matin... Je corrige une fiche. Je veux un câlin ;A; -pan- Bah écoute, je n'ai rien à dire du tout ! Tu as un style trèa agréable à lire et drôle ! J'ai aimé quelque comparaison très amusante ( genre l'os de pigeon. XD ) Je dirais juste, fait donc attention aux paragraphes et aux couleurs que tu utilises. -.^ Sur ce, je te valide ! Je te laisse tout faire sur la carte avant de commencer à RP ! C'est cool d'avoir une autre commerçante ;w; |
|