Kester Omuranne

Nom : Omuranne
Prénom(s) : Kester
Âge : 25 ans
lieu de naissance : Mur Maria
Sexualité : Hétérosexuel
Statut : Brigade spéciale
Famille : Aucune
Groupe :Brigade spéciale

CARACTÈRE

Le respect ça se mérite !

Zzzzzz….Hein ?! Quoi ! Je ne dormais pas lieutenant je vous le jure ! Hein ? Ah la vache vous m’avez vraiment foutu les jetons les gars. Je croyais que c’était le lieutenant et si ça avait été le cas je peux vous dire que j’aurais passé un sale quart d’heure. Quoi vous voulez que je vous en dise plus sur son caractère ? Hum après tout pourquoi pas ça m’évitera de m’endormir vu que je m’ennuie un peu à ce poste.

Alors, tout d’abord, c’est un supérieur sérieux qui ne supporte pas les mecs qui se la coulent douce. Il prend très au sérieux son rôle de chef et fais toujours son possible pour remettre dans le droit chemin ceux qui s’en éloignerait. Mon lieutenant dit souvent que notre boulot c’est avant tout de sauver des vies et que ce n’est pas en restant assis le cul sur une chaise qu’on le fera. Donc on peut également dire que c’est un homme d’action qui n’hésite pas à aller en première ligne pour sauver autant de vies qu’il lui est possible. D’ailleurs parlons-en de ceux qu’il veut sauver. Les civils le mérite pour lui, mais tous ces dégénérés de la noblesse et le roi lui-même cet homme n’en a rien à battre. Pour lui ce ne sont que des lâches et s’ils crèvent ben ils crèvent ce n’est pas bien grave. Pour lui le monde survivra très bien sans eux. Il ne protège que ceux qui ont vraiment besoin d’aide et pas les autres.

Si des soldats ne lui obéissent pas notre lieutenant peut très bien jouer avec eux pour les punir pouvant être très sadique quand il veut. Il peut même user de violence et n’a pas peur de mettre une bonne droite au premier qui ose l’ouvrir un peu trop. Les prétentieux comme les flemmards passent sans cesse de sales quarts d’heure avec lui. En général, notre supérieur défit les prétentieux en combat pour les humilier devant tout le monde ce qui rabat leur caquet généralement et pour les flemmards c’est généralement cent tours du quartier général sans pause. Autant dire que ce n’est pas un tendre. D’ailleurs c’est aussi vrai pour les conversations. Le peu qu’il a, il est très franc et peut vous balancer sans soucis un t’es con dans la tronche s’il ne vous aime pas. Ce n'est pas un homme qui est pas du genre à mâcher ses mots préférant être clair directement.

Ensuite, c’est un très bon stratège. Il visualise toujours la situation et regarde ce qui serait le mieux à faire dans chaque situation. C'est un homme qui ne se démonte jamais et arrive toujours à trouver une solution pour chaque problème. Ses plans ne rate pas souvent même jamais, mais après on n’est pas à l’abri que ça arrive un jour, car comme il le dit lui-même il n’est pas infaillible. On a tous nos défauts et nos faiblesses. Et ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts, c’est sa phrase préférée.

A part ça c’est un homme d’une grande froideur. Autant dire qu’avec lui la conversation ce n’est pas gagné. C’est loin d’être un grand bavard. Et rien que le fait que notre lieutenant vous regarde peut vous dissuader d’ouvrir la bouche, car son regard est froid et dénué d’émotion. Quant à son ton quand il vous parle il est le plus souvent sec, cependant celui-ci n’est pas du genre à prendre les autres de haut sachant très bien rester à sa place sans non plus se laisser écraser comme j’ai pu le dire plus haut. C'est un supérieur qui traite avec respect chacun de ses hommes du moment qu’eux aussi le respecte. Comme il le dit une fois de plus, le respect ça se mérite ce qui est vrai. Bref , nore chef reste tout de même un grand solitaire. S’il n’avait pas ses hommes je me demande bien où il en serait aujourd’hui. Je crois que j’ai tout dis donc bonne fin de journée….zzzzzz..

Une quinzaine de lignes est requise pour cette partie.

PHYSIQUE

L'entraînement est la seule chose qui vous aidera à survivre !

Oï vous là ! Oui vous ! Qu’est-ce que vous faites là c’est interdit aux civils circulez ! Quoi vous voulez en savoir plus sur le lieutenant Omuranne ? Euh là je crois que ça ne va pas être possible, parler c’est loin d’être son truc vous savez. Vous le décrire physiquement ? Euh je pourrais, mais vous ne l’avez jamais vu ? Comment voulez-vous le trouvez sans savoir à quoi il ressemble ? Bon c’est vraiment pour vous aider. Alors, moi c’est Ralph, je suis un des soldats sous le commandement du lieutenant.

Alors, pour commencer je vais vous parler de sa tête. Il a un visage ni trop allongé ni trop rond avec des traits fins. Ses yeux sont aussi rouges que son sang et vous avez l’impression qu’il peut vous percer à jour rien qu’en vous regardant. Quant à ses cheveux, ils sont noirs et coupés courts. D’ailleurs en passant, mais ne lui dites pas, on dirait que celui-ci s’est coiffé avec un pétard sérieux. Niveau nez et bouche c’est pareil c’est asse fin ce qui lui donne plutôt un beau visage, mais après je m’intéresse pas aux mecs donc demander l’avis d’une nana pour savoir s’il fait partie des beaux gosses. Ensuite, pour un type de vingt-cinq ans, ben il est loin d’avoir une grosse pilosité, je dirais même qu’il est imberbe. Notre lieutenant n’a aucun poil qui dépasse. Mis à part les sourcils qui eux aussi son très fins. Bon pour le visage je crois que j’ai tout dis maintenant passons au corps.

Le lieutenant est un homme faisant à vue d’œil un mètre 75 pour 70 kilos ce qui est une bonne moyenne. Son corps n’est composé que de muscles grâce à son entrainement de forces spéciales ce qui lui donne une carrure ni trop faiblarde ni trop imposante. Sinon je crois avoir entendu parler de tatouage et de cicatrices, mais je ne peux pas vous certifier qu’il les a vraiment. Apparemment, d’après les rumeurs, il aurait une cicatrice dans le dos assez imposante et c’est à cause de celle-ci qu’il s’est fait un tatouage. Apparemment, celui-ci aurait caché sa cicatrice grâce à lui. Ce tatouage représenterait un dragon d’après ce que j’en sais. Il a également une autre cicatrice à l’une de ses jambes mais je ne sais pas laquelle. Celle-ci serait située sur l’un des mollets. Sinon, les poils sont également bannis de son torse.

Pour finir je vais vous parlez de ces vêtements. Alors, sincèrement ce n’est pas évident de le remarquer dans le noir, car il est généralement habillé de cette couleur de la tête au pied. Enfin ça c'est seulement quand il n'est pas en service. Car, l'uniforme est obligatoire pour tout le monde et notre lieutenant ne fait pas exception à la règle. Sinon il n’a aucun accessoire que ce soit collier, bagues ou bracelets. Il porte juste des gants et possède une épée en métal très résistant tout en étant léger ce qui permet une grande maniabilité. Et dernier élément les bottes, ce qui est plutôt pratique si on ne veut pas marcher pieds nus. Celles-ci sont plus souvent en cuirs avec des lacets.

Voilà maintenant que vous savez à quoi il ressemble ce sera quand même plus pratique de le reconnaître.

Une quinzaine de lignes est requise pour cette partie.

HISTOIRE

la vie nous met parfois à genoux, mais c'est à nous seul de choisir s'il l'on veut se relever.

Je m’appelle Kester Omuranne, je suis lieutenant à la brigade spéciale et je vais vous raconter mon histoire. Je suis venu au monde dans un orphelinat. Ma mère ne pouvait pas s’occuper de moi donc une fois qu’elle eut accouché elle m’y laissa. Elle n’a pas donné d’informations sur mon père donc même si j’avais voulu le retrouver c’était loin d’être facile. Une fois en âge de partir de l’orphelinat c’est-à-dire à mes dix-huit ans, j’essayais de retrouver ma mère. J’avais vécu de belles années dans cet établissement, mais pas au point d’y rester toute ma vie. Ceux qui m’avaient gardé m’avaient précisé qu’elle était infirmière donc j’ai fait le tour des hôpitaux en demandant son nom. Elle s’appelait Sacha Omuranne, mais rien. Il n’y avait aucune trace d’elle, comme si elle n’avait jamais existé.

Je finis donc par abandonner mes recherches. À quoi bon essayer de rechercher une femme qui n’a apparemment jamais existé ? Elle avait sûrement donné un faux nom. Bref, au final je me retrouvais sans famille, car je n’avais aucune idée de qui étaient vraiment mes parents. Je n’avais pas de frère ni de sœurs ou alors je n’étais pas au courant non plus. J’étais donc un peu livré à moi-même dans un monde plutôt dangereux.

Un jour que je passais en plein milieu de la ville en pleine nuit, j’entendis un bruit. Plutôt un cri pour être précis qui fut étouffé juste derrière. Je fus intrigué, car peut-être  quelqu’un avait besoin d’aide. Je n’aimais pas trop la violence à ce moment-là et qu’une personne en use sur quelqu’un ne me plaisait pas. Je fis quelques ruelles avant d’entendre enfin des voix. Enfin, une voix celle d’un homme. D’ailleurs celui-ci n’avait pas l’air bien sympa vu ce qu’il disait. On entendait un ferme ta gueule ou une conasse toutes les cinq minutes. Faut dire que ce qu’il faisait à la dame en aurait incommodé plus d’une. Apparemment, il s’était déjà servi dans son porte-monnaie vu le portefeuille par terre, mais il n’avait pas l’air de vouloir en rester là. Il commençait à la déshabille d’une main tandis que l’autre était posé sur la bouche de la jeune femme.

Les porcs dans son genre étaient ceux que je détestais le plus. Comment pouvais-t-on faire quelque chose d’aussi répugnant à quelqu’un ? Vu qu’il ne m’avait pas vu j’allais doucement jusqu’à eux en mettant un doigt sur ma bouche pour que la jeune femme ne fasse pas capoter ma couverture. Une fois proche de lui je courus jusqu’à lui pour le bousculer le plus fort possible. Il vola quelques mètres plus loin et je pris la main de la jeune femme sans attendre. Nous prîmes nos jambes à notre cou après avoir ramassé le porte-monnaie de la fille. Vous devez sûrement me trouver lâche d’avoir fuis, mais d’une part je ne sais pas me battre et d’autre part je ne voulais pas que la jeune femme soit blessée donc j’avais préféré la solution la plus simple et la plus sûre.

A quoi bon jouer les héros alors que je n’en étais pas un ? Cela ne servait à rien de me faire passer pour ce que je n’étais pas surtout que ça finirais par se savoir. Bref, je l’emmenais jusque chez moi et une fois le seuil de la porte passée je la refermai direct à clé. Nous étions tous les deux haletant. Je lui proposais ensuite de prendre une douche au-dessus et de dormir un peu. De toute façon valait mieux pas qu’elle retourne chez elle tant qu’il ferait nuit. Du coup je m’installais pour ma part dans le canapé et m’endormis. Au petit matin, un post-it était posé sur la table à côté de moi. Il y était marqué le nom de la jeune femme, Sélène et son numéro. Nous nous sommes rappelé et avons commencé à nous fréquenter aimant beaucoup la présence de l’autre. Je finis par la demander en mariage un an après notre rencontre. Elle accepta.

Un petit garçon arriva quelques mois plus tard. Ce petit bout de chou que l’on avait appelé Scott était curieux de tout et je l’aimais autant que sa mère. Nous vivions heureux, nos boulots à tous les deux ne suffisaient pas à subvenir à nos besoins. À l’époque j’avais dans l’idée d’intégrer la brigade spéciale pour que ma famille ne manque de rien. Cependant, j’étais du genre à rien foutre de la journée. En gros, je faisais exactement comme cette foutue noblesse et notre dégénéré de roi. Je ne me bougeais pas du tout. Bien sûr au début pour entrer dans la brigade j’avais fourni les efforts qui s’imposaient et j’avais même réussi à avoir la troisième place au classement, mais une fois intégré je ne fis plus rien. Je me laissais vivre tranquillement. Autant vous dire que j’ai vite payé au prix fort cette inconscience.

Vu que je faisais maintenant parti de la brigade je dus déménager pour exercer mes fonctions pendant que ma famille attendrait encore un peu. Et pendant que je me tournais les pouces il arriva une tragédie dont je me sentirais toujours coupable. Une attaque de titan survint au mur de Maria et pendant que j’étais à l’abri au quartier général, ma femme et mon fils qui venait d’avoir deux ans furent tuées dans l’incident. C’est à ce moment-là que tout changea ce moment où les titans nous montrèrent que nos murs ne les retiendraient pas. Au moment où ils les passèrent et ravagèrent tout sur leur passage. Ce moment marquera à jamais ma vie. C’est comme s’il était gravé au fer rouge sur moi, comme pour me punir. Ce jour-là on avait tous fait preuve de naïveté en pensant qu’un pauvre mur pourrait arrêter des titans aussi grands que lui. Comment on avait pu être aussi aveugles ? Ces monstres étaient bien plus forts qu’un mur. Nous les avions sous-estimés et nous en avions tous payés le prix de manière différente. J’avais tout perdu. Je n’avais plus aucune famille. Tout ce qui me restait c’était ce poste dans la brigade. Si nous avions été moins feignants, on aurait pu agir et sauver d’innombrables innocents ainsi que ma famille.

À partir de ce jour je pris enfin la décision de me bouger pour que la brigade devienne vraiment une force armée et pas une vulgaire bande de mou du genou. J’étais en colère contre moi-même pour ne pas avoir été aux côtés de ceux que j’aimais et en colère contre cette brigade qui ne faisait rien pour redorer son blason d’unité guerrière. J’allais donc tout faire pour que celle-ci change et je ne pardonnerais pas à ceux qui la prendraient à la légère. Je commençais donc un entraînement intensif en espérant que l’on m’accorderait assez vite un rang supérieur pour pouvoir mater un peu ceux qui devaient l’être. Je mis, en tout, trois ans à accéder au grade de lieutenant. J’avais effectué une bonne vingtaine de mission avec toujours un résultat plutôt bon ce qui avait réussi à me faire gagner ma promotion.

Je me battais en souvenir de ma famille. Je savais très bien que les autres aussi avaient des familles et je ne voulais pas qu’ils fassent la même erreur que moi. C’était pour ça que j’étais dur avec toutes les nouvelles recrues sans exception. Dès que j’en voyais un trop sûr de lui ou complètement à la ramasse je lui remettais vite les pendules à l’heure avec une bonne droite ou des tours de terrains à la pelle. Je ne voulais plus que ce qui m’était arrivé arrive. Je ne voulais plus de morts innocentes. Bien qu’à cause de cet incident je me suis renfermé sur moi-même je ne suis pas un monstre pour autant. C’est vrai que je suis quelqu’un de froid et d’asociale, mais je ne veux plus souffrir. Si je suis devenu comme ça c’est pour que l’on me déteste et pour que j’évite de m’attacher à quelqu’un d’autres. J’avais déjà perdu une fois ceux que j’aimais je ne voulais plus que ça arrive.

Bref, je suis maintenant un haut gradé de la brigade spéciale et j’ai gagné le respect de mes paires même si c’est principalement grâce à la peur que je leur inspire. Sous mon commandement il n’y a que de bons soldats et s’ils leur arrivent de flancher je leur botte le train. Maintenant la brigade spéciale est prête à sauver des vies et même à sa sacrifier si nécessaire. Nous ne sommes pas des lâches et encore moins des feignants. Et nous faisons toujours notre mieux à chaque fois donc j’espère que ça payera !

Une vingtaine de lignes est requise pour cette partie.

Test RP :

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