Neverland Nemesis Alaska

Nom : Neverland
Prénom(s) : Nemesis Alaska
Âge :  Vingt-et-un ans.
Lieu de naissance : District de Shingashina.
Sexualité : Hétérosexuelle il semblerait.
Statut/métier : Section D'Exploration & Lieutenant.
Famille : Deux demi-frères vivants, une sœur décédée ainsi que deux parents décédés également.
Rebelle : Non.
Groupe : Section d'exploration.

CARACTÈRE

Silence pitié

" C'est pas une bonne personne, regardez la ! Elle prend tout l'monde de haut avec ses grands airs, elle ignore tout l'monde sans distinction. Une p'tite garce voilà tout. On vous a pas raconté la semaine dernière ? Cette petite peste a osé bousculer un officier d'la garnison, et comme tout bon soldat qui s'respecte il a commencé à la houspiller. Oh quelle erreur si vous aviez vu, elle l'aurait tué! Une véritable belliqueuse cette gamine, moi j'vous l'dis, son calme, c'est qu'du flan ! " - Habitante anonyme.

" Alaska ? Un véritable mystère, pas moyen de comprendre quoi que ce soit sur elle c'est comme un puzzle dont il manque la moitié des pièces. Pourtant, c'est une personne vraiment agréable si on passe sur son attitude froide du premier abord. Et elle a de la conversation, une vraie bibliothèque curieuse ! Je pense qu'elle préfère écouter que parler, mais quand elle se lance, là c'est une véritable surprise. On dirait que toute sa vie se résume à la connaissance. C'est une brave petite, elle vient souvent discutailler avec les vieillards du quartier ou faire les courses pour ses parents. Ah ... Une perle cette enfant. " - Le pâtissier.

" La franchise. C'est la chose que j'ai pu remarquer en premier, dans son regard, son attitude et ses mots. Oh évidemment ce n'est pas parce que l'on dit clairement ce que l'on pense qu'on ne ment pas bien, au contraire je l'ai déjà vu faire et j'ai manqué d'y croire ! Le problème c'est que sa franchise ne lui octroie aucun tact, malgré une subtile touche de diplomatie. Mais bon, la plupart du temps les gens sont surpris de l'entendre parler et je crois que c'est pour ça qu'elle est aussi silencieuse. Disons qu'elle ne dit jamais les choses par hasard et qu'il vaut mieux bien faire attention à ses interventions qui se révèlent souvent être des conseils ou des avertissements. C'est pour ça que je fais toujours bien attention. On ne sait jamais. " - Un passant.

" Douce ! C'est une gentille madame, elle vient souvent jouer avec nous dans les rues ! Elle sourit pas beaucoup mais quand elle le fait c'est très joli. Puis elle nous encourage et elle nous défend contre les méchants. Oh elle se bat comme une guerrière la dame ! Mais elle veut pas qu'on fasse pareil et c'est un secret ... Dîtes rien hein! " - Une enfant du quartier.

" Y'a pas beaucoup de chose que j'connais d'elle. Elle passe souvent dans les coins sombres avec des gamins derrière elle ou bien toute seule pour je ne sais quoi. J'la vois souvent s'battre avec pas mal de monde, j'crois que y'en a pas beaucoup qui l'apprécie vraiment voyez. Par contre elle a d'la force la môme, j'l'ai vu mettre un garde au sol en un battement de cil c'était d'la folie. Mais j'crois que dans le fond elle est bizarre. Pas méchante, juste pas comme nous. " - Stalkeur à sa fenêtre.

" Alaska est une personne tout à fait adorable. Elle vient souvent discuter avec moi, m'aider au jardinage ou me faire un peu de lecture. C'est une jeune femme charmante et très cultivée, et son sourire est très joli. J'aime beaucoup discuter avec elle, mais je crois qu'elle renferme en elle une grande part de noirceur qu'elle masque par son calme désarmant. Quoi qu'il en soit, c'est une bonne fille. " - Vieil homme.

" Notre fille est quelqu'un de respectable, pas une vulgaire écervelée. Oh elle n'est pas très futée et elle est incapable de faire les choses utiles mais ... Il n'y a rien à dire d'autre. " - Les parents.

" Sombre. Alaska est quelqu'un de sombre. Elle a en elle une telle rancœur pour papa, pour maman et pour une grande partie des gens de ce monde que tout ceci la rend instable. On dirait qu'elle est calme et posée mais je suis persuadée qu'au fond d'elle, c'est une tempête qui fait rage. Sa soif d'apprentissage et son envie d'en savoir plus sur le monde extérieur va finir par la tuer, et je pense que c'est la meilleure chose qui puisse lui arriver. Il faut la tuer, elle est impure. " - La sœur.

" Je ne pense pas que mon avis compte beaucoup ... C'est une enfant curieuse, assoiffée de connaissance sur ce qui se trouve en dehors de l'enceinte des murs. Elle vient souvent ici le soir afin que je lui raconte des histoires que je tenais de mes aïeux sur la banquise, les pays couverts de sable ou encore ceux où trônaient d'immenses forêts. Son admiration pour le savoir rendrait curieux n'importe qui. C'est une fille bizarre. " - Le voisin.

" J'la vois souvent moi j'vous l'dis ! On dirait qu'l'aime bien ça l'p'tite, la natation. Elle vient faire l'peur aux poissons ouais. Quand on veux pêcher, l'est souvent là. " - Un pêcheur.

" La môme Neverland ? Ouais ouais je l'ai déjà vu plusieurs fois même, elle vient jouer avec les chiens et le lapin du petit. Elle a le feeling avec les bêtes, puis elle est pas mauvaise pour occuper les enfants alors on la laisse faire. Puis faut dire qu'elle demande rien en retour et qu'elle est pas désagréable alors on en profite. " - Un éleveur.

PHYSIQUE

Never like you

" La première fois que je l'ai vu, ce n'était qu'un bout de chair rougeau très silencieux. Ce qui m'a interpellé, c'était la couleur de ses yeux. Un bleu tirant sur le vert, d'une couleur que je ne me rappelai pas avoir vu jusqu'à aujourd'hui. Bien sûr, elle a grandi, et ses prunelles sont maintenant d'un vert éblouissant, virant quelques fois avec des éclats bleus. Ils sont splendides. " - Une amie de la famille.

" Alaska est une jeune femme qui est loin de passer inaperçue et elle le sait. De longs cheveux noirs, des yeux à faire fondre un cœur de glace et un corps divin. C'est une personne délicieuse, mais son physique ne masque aucunement la froideur qui se dégage d'elle. Bien au contraire, cela renforce plutôt ce côté de sa personnalité et la part de mystère que cela envoie ... Non, elle est vraiment très belle. " - Inconnu.

" Il est rarissime de voir cette jeune fille en robe ! La seule fois que ce fut le cas il me semble que c'était pour un évènement très important, mais je ne sais plus très bien lequel. On la voit généralement porter des tenues plutôt simples, qui collent un peu à la peau. C'est quelque chose qui lui va très bien. Souvent, elle associe ça avec des bracelets fantaisie, des trucs à breloques qu'elle met sous sa manche quand elle veut en masquer le bruit. C'est assez étonnant pour une fille comme elle, de porter ce genre de trucs. " - Un passant.

" J'ai souvent vu cette nana là. Je veux dire ... Elle. Je ne connais pas vraiment son nom. Tout ce que j'ai retenu d'elle, c'est qu'elle est très jolie et que nombreux sont ceux qui lui tournent autour. Moi y comprit, c'est une bombe ! Un peu zarbi mais vraiment pas mal tout de même. " - Un fan.

" Des cheveux d'obsidienne, des yeux envoutants, une bouche à faire frémir les ailes des plus faibles. Son corps est délicat, pourvu de formes pulpeuses sur la poitrine et les fesses. Son cou est gracieux, relie des épaules frêles. Toutefois, cette délicieuse personne n'a pas moins de force que ce que l'on peut en penser, bien au contraire. La damoiselle est plutôt féroce au combat, et agile avec ça. Rapidité et puissance ... C'est étonnant, pour un corps si frêle qui parait innocent. " - Une femme.

" J'aime beaucoup c'te femme. J'la trouve jolie. J'veux dire, elle est belle à l'intérieur aussi, j'trouve. Enfin ouais, elle est bien fichue. " - Un passant.

" Pff comme si y'avait quelque chose à regarder chez elle. Elle est écœurante avec sa pseudo perfection à la noix. Je crois même qu'elle s'est dessinée un truc bizarre sur le corps, c'est hideux ! Je vois pas pourquoi .. Arrêtes de la regarder ! " - La sœur.

HISTOIRE

Délicieuse vie

Once upon a time...
" Une femme et un homme se rencontrèrent. Ils tombèrent fous l'un de l'autre au premier regard et ...

Ceci n'est pas un conte de fée. Ceci ne commence pas par un couple joyeux et heureux, insouciant. Cette histoire débute un froid après-midi d'octobre, sur le parvis d'une petite maison. Des cris sur le perron, une femme qui hurle après son vieux père alité alors que la pluie claque sur les vitres glacée. Elle était jeune et belle, volage et naïve. A présent elle était promise à cet homme qu'elle ne connaissait pas, dont son père venait d'accepter la demande comme si la décision lui revenait de plein droit. La mère se tenait assise dans le coin sombre de la petite chambre étriquée, très raide sur le dossier de sa chaise et triturant ses doigts avec nervosité. Sa petite fille allait se marier, quitter la maison et deviendrait une charge en moins. Prendre soin d'un mari malade et d'une enfant qui grandissait trop vite coûtait cher, presque trop pour cette femme accablée par le manque de l'argent.

Bientôt, le père succomba et les feuilles tombèrent des arbres au dehors telles des plumes lourdes et sans couleur. Le mariage fut célébré en grandes pompes, financé par la famille de l'époux qui se trouvait être fort aisée et possédait de quoi offrir à leur enfant un mariage digne d'un petit prince. La mère de la mariée resta en retrait, emmitouflée dans sa vieille tenue de fête décolorée par les années, son petit chapeau sur la tête et le cou engevêtré dans une écharpe rapiécée. La fête s'éternisa toute la nuit et sur les deux jours qui suivirent tandis que la fille en apprenait plus sur celui qui partagerait désormais son existence. Elle s'appelait Sophie, lui Ethan. Le lendemain de leurs fiançailles, elle partit vivre avec cet homme et ne vint plus jamais voir sa mère.
Celle-ci mourut quelques temps plus tard d'une pneumonie aigüe, attrapée lors d'un hiver alors qu'elle essayait d'économiser le bois du chauffage. Ce fut un voisin qui alerta les autorités, inquiets de ne pas l'avoir vu depuis une bonne semaine. On la retrouva morte dans sa cuisine, sur son vieux fauteuil. Il n'y eu rien à léguer à la fille, elle ne vint même pas à l'enterrement. A vrai dire, il n'y eu pas grand monde ce jour-là. Comme si cela n'avait été d'une trainée de poussière qui disparaissait.

Sophie était mariée depuis six ans maintenant et vivait dans une maison bourgeoise avec sa belle-famille. La jeune femme s'était rapidement faites à cette vie de luxe et de profusion où chacun de ses caprices étaient satisfaits. Bien qu'elle n'aima pas son époux d'un véritable amour, les deux amants profitaient chacun l'un de l'autre et s'avéraient contents de leur sort. Il y avait eu des mariages plus catastrophiques.
Le petit couple vivant chacun leur vie de leur côté même sous un toit commun, les parents convièrent leur fils et leur belle-fille à leur offrir des descendants afin de donner à la famille un héritier.

Seul un homme pourrait posséder la totalité de la fortune familiale et Sophie n'en fut que plus enchantée, ayant toujours désiré un fils à élevé. Ainsi le couple fit son possible pour concevoir au plus tôt un enfant que les grands-parents couvriraient de richesses.
La jeune femme fut très vite enceinte, comme un signe du destin. On aurait dis que même le ciel avait décidé d'offrir à ce couple la réalisation de leur souhait. Les médecins les plus prestigieux assurèrent que l'enfant serait bien évidemment un garçon, que cela tombait à la bonne saison et que les astres étaient favorables.
Pourtant, ce fut bien une petite fille qui vit le jour, au chaud mois de juillet. Sa venue au monde apporta au couple frustration et haine. La famille d'Ethan refusait de reconnaitre que cet enfant était celui de leur fils et portèrent toute la faute de cette naissance monstrueuse sur la mère.

Ainsi, Nemesis ne grandit pas entourée d'amour et d'affection. Sa mère elle-même rejeta l'enfant, tentant plusieurs fois de lui donner la mort dans son bain avant de sortir la petite de l'eau, comme prise par d'affreux remords. Cette période de petite enfance s'ancra profondément dans l'esprit de la jeune fille, et notamment ce dégoût insupportable qu'elle lisait dans les yeux de Sophie. Son père quant à lui était plus passif. Il l'ignorait ou se montrait courtois lorsqu'il devait lui lâcher des mots, les extirpant de sa bouche avec une difficulté presque douloureuse. Aussi dès qu'elle fut en mesure de se débrouiller seule, Nemesis se mit à vagabonder hors de la maison à la recherche de connaissances. Elle ne comprenait pas les adultes et ses parents ne lui parlaient pas, alors elle voulait comprendre seule. Son envie d'apprendre se propagea rapidement à tous les domaines auxquels elle se heurtait, apprenant tantôt la lecture, tantôt la musique. L'enfant qu'elle était devint très vite un puits de connaissance intarissable mais effroyablement silencieux. Comme si en contrepartie, elle avait accepté de sacrifier sa voix.

Les années s'écoulèrent avec la douceur de la soie. Une seconde fille était née dans la famille, Cassandre. Deuxième enfant et malgré la déception de ses parents, elle fut choyée et acceptée par les beaux parents comme si Nemesis n'avait jamais existé à ce jour. Pourtant, il n'y eu aucune jalousie. Aucune colère. Ce n'était pas comme si on lui volait quelque chose après tout puisqu'elle ne connaissait ses géniteurs que comme des étrangers.
Tout le monde étant aux petits soins de Cassandre, l'ainée en profita pour quitter encore plus fréquemment le domicile familial. Elle fuyait chez son voisin, un homme cultivé qui lui apprenait des choses sur le monde extérieur envers lequel elle avait développé une curiosité dévorante.

Quatorze ans s'étaient écoulés depuis la naissance de Nemesis, huit depuis celle de Cassandre. La première-née avait apprit à analyser les gens, à en comprendre davantage sur eux. Puis, elle l'avait découvert. Un soir où elle rentrait pas la fenêtre, son père discutait avec ses propres parents. Et la teneur de la conversation l'avait fait tressaillir, comme si on lui injectait dans les veines un poison froid. Son père avait une seconde famille. Il avait procrastiné avec une trainée et étaient nés de cette union illégitime deux fils. L'un né la même année que la première fille, l'autre l'année suivante. Des fils. Le mot résonna un moment dans la tête de l'adolescente avant qu'elle ne parte dormir, espérant trouver la paix dans les bras de Morphée.

Elle prit soin d'en apprendre plus sur ses demi-frères, prise d'une envie de les rencontrer. Pour voir ceux qui étaient de sa famille, et surtout savoir s'ils étaient aussi lamentables que ses parents. Bien qu'elle les trouva rapidement du fait de ses grands-parents négligents, elle ne les rencontra pas avant deux nouvelles années, prenant le temps de se faire à l'idée de toutes ses révélations et ne voulant pas se précipiter. Puis elle y était allée, avait rencontré ses demi-frères et tissé un petit lien avec eux. Quelque chose de fragile, mais d'incroyablement fort à la fois.
Ce soir-là, alors qu'elle rentrait chez elle, sa mère tenta de la noyer. Elle prenait un bain, la tête sous la surface pour réfléchir. On lui avait enserré la gorge, l'empêchant de bouger et d'échapper à l'étreinte meurtrière de l'eau qui allait lui gorger les poumons jusqu'à son dernier résidu d'air. Mourir de la main de cette femme.
Les forces de Nemesis l'abandonnèrent peu à peu alors que sa vision se troublait un peu plus à chaque seconde. Et puis, comme un éclair de lumière aveuglant, les doigts avaient lâché prise. Prise d'un soubresaut instinctif de survie, la brune avait sorti la tête de l'eau, s'agrippant au bord de toutes ses forces alors qu'elle essayait en vain d'aspirer cet air si précieux que sa gorge chassait à chaque fois. Elle était paniquée, incapable de réfléchir de façon cohérente. Une porte claqua, puis on vint lui caresser le dos d'une façon presque affective. On la tira par le bras pour qu'elle sorte alors que le souffle lui manquait encore, refusant de lui revenir. Elle fut couverte d'une serviette et assise au sol alors que l'on cherchait à l'apaiser. Il y eut une voix, une voix qui se voulait rassurante. Peu à peu, l'air afflua à nouveau normalement en elle et Nemesis put à nouveau réfléchir calmement. Sa vie n'était plus en danger, tout allait bien.

Son regard se leva vers l'individu qui l'avait sauvé de cette femme, de celle qui avait osé à nouveau essayer de mettre fin aux jours de son propre enfant. Elle reconnut un de ses demi-frères, celui qui avait son âge. Elle lui avait plusieurs fois montré l'entrée par sa chambre, avec la fenêtre. Il avait voulu lui faire une surprise et avait entendu du bruit venant de la salle de bain avant de trouver une femme en train de la maintenir sous l'eau. Celui qu'elle considérait comme sa véritable famille l'avait sauvé de la noyade. Nemesis refusa par la suite d'être à nouveau dans la même habitation que sa mère et partit de la maison. Son père en profita pour la renier, suivit de ses parents qui firent pleuvoir sur l'adolescente les insultes et les critiques.

Quelques mois plus tard alors qu'elle était allée au mur Maria avec ses demi-frères, il y eu l'attaque des premiers titans. Plus de district, plus de parents. A partir de cet instant, la jeune femme décida de rejoindre les soldats et s'entraina plusieurs années avant d'être acceptée dans la section d'exploration.
Ses exploits, ses capacités, sa force et son calme lui permirent de gravir les échelons jusqu'au rang de Lieutenant, qu'elle prend très à cœur.

Test RP :

A toi maintenant. Qui es-tu?

Pseudo : Nemesis ♥
Âge : Bientôt dix-sept ans, pas encore vieille.
Personnage de l'avatar : Personnage & série, ou l'artiste qui l'a fait si c'est un original.
Comment avez-vous connu notre forum ? En faisant une ptite recherche toute simple pour trouver un forum sur Shingeki No Kyojin.
Question, suggestion, remarque ? Pas le moins du monde, navrée. J'aime beaucoup ce forum simplement.
&  SNk : Mon petit favoris ? Jean. Et Rivail. Je trouve que les deux personnages ont un caractère sympathique, assez intéressant à vrai dire. J'ai beaucoup aimé la série pour son originalité.
Code du règlement : Okay by Kester ~